mardi 24 février 2009

Un samedi en famille

Samedi 21 février

En ce beau samedi hivernal, nous avons eu une invitation des parents de Marie-Ève pour aller faire de la raquette dans la région de Portneuf (environ 45min de route de Québec). Comme Dame Nature venait de nous gâter de 25cm de nouvelle neige, l'invitation était difficile à refuser.

Saint-Valentin

La célébration de l’Amour se distille un peu tout au long des 364 jours de l’année mais nous avons tenu à souligner l’événement comme il se doit.
C’est ainsi que sous un soleil radieux, en ce 14 février, nous sommes partis pour la journée dans la belle région de Charlevoix.
Levés à une heure raisonnable pour un samedi matin, nous prenons la route vers Baie St Paul. Les cotes s’enchaînent au sommet desquelles un splendide paysage hivernal s’offre à nous.

Arrivée à Baie St Paul pour l’heure du diner, nous nous sommes installés à la table d’un restaurant pub. La cuisine d’inspiration locale met à l’honneur des plats « traditionnels » agrémentés de la spécialité de la région, les fromages.
Le pub étant également une micro brasserie, je me délectais d’un assortiment de 4 bières produites localement.

Satisfait de notre arrêt gastronomique, nous reprenons la route, celle qui longe le fleuve pour en savourer les paysages. La route est comme un sillon entre mer (le fleuve) et montagne. De chaque coté, la couleur dominante est le blanc. Le fleuve gelé sur ses rivages, laisse entrevoir des navires, des cargos...

Arrivée à La Malbaie, nous nous plongeons dans un tout autre environnement, celui des machines à sous du casino ! Peu enclin aux jeux, nous nous montrons plus que raisonnable en ne jouant que les 2$ en poche. Le pire étant que nous avons tout de même joué près de 45mn avec ces 2$, passant d’une machine à une autre, rejouant nos gains de l’une sur l’autre !
Vite saturés, nous fuyons ce temple du rêve et du capital, pour reprendre la route de retour vers Québec.
Planification parfaite ou heureuse coïncidence, l’heure à laquelle nous empruntons la route des montagnes nous permit de profiter d’un superbe coucher de soleil.

Arrivée à Québec, le romantisme de la journée se prolongea par un apéro au champagne suivi d’un bon souper accompagné de rien de moins qu’un Lalande de Pomerol !
Et pour clore une fin de semaine placée sous le signe de la célébration de notre amour, quoi de mieux qu’un spa !
Comme en décembre dernier, nous avons profité des vertus apaisantes et vivifiantes de la thermothérapie. Comme la 1ère fois, nous avons sagement accompli nos 4 cycles d’alternance de chaud et de froid, entrecoupés de bonnes séances de relaxation et de détente dans les bains tourbillons extérieurs.

Une fois encore, nous avons expérimenté toutes les sources de chaud et de froid, notamment la rivière ! Sensation rafraîchissante que de se plonger le corps, enfin une partie, dans la rivière, au milieu des glaces !
C’est donc ainsi qu’en bon « valentin » nous avons fêté le 14 février.
Mais si cette fin semaine ressemble à une compilation de sorties romantiques, il n’en reste pas moins que nous prenons soin de savourer notre amour chaque jour du reste de l’année...

mercredi 11 février 2009

Publipostage prénuptial

Après plusieurs heures de conception, nous sommes en mesure de faire un envoi massif de nos faireparts de mariage.
Nous sommes fiers du résultat et avons hâte de recevoir des réponses positives !
Surveillez votre boite aux lettres…

mardi 3 février 2009

On a retrouvé Amélie Poulain !





Pour devenir « l’homme parfait », il ne me restait qu’à développer des compétences culinaires. Mais pas n’importe lesquels, une en particulier. L’accès à la perfection prenait la réalisation de crèmes brûlées (en tant que français, ça doit faire partie de mes gênes !)

Afin de compenser de piètres talents de cuistot, j’ai offert à Marie pour Noel, un kit complet pour faire des crèmes brûlées digne de ce nom. C’est ainsi qu'en janvier, le coup d’essai fut transformé en coup de maître.
Suivant scrupuleusement la recette figurant sur le livre accompagnant le cadeau (on fait les choses bien ou on ne les fait pas !), nous entamions le (long) processus de création de ce dessert. Nous anticipions la dégustation de ce met en formation devant nos yeux, salivant au passage.
En bon assistant que je suis, je mis la main à la pate, de là à dire que mon statut de perfection fut atteint, il faudra demander l’avis à l’unique membre du jury !
En digne héritière de l’héroïne de Jean-Pierre Jeunet, Marie alias Amélie, armée de la célèbre petite cuillère, cassa magistralement la croute de notre 1ère crème brulée.
Divin, succulent avec dans la tête quelques notes de Yann Tiersen pour être plus encore dans l’ambiance du film…
Pour une 1ère expérience, ce fut réussi.
La fonction olfactive du blogue n’étant pas disponible, vous devrez vous contenter de l' image !