dimanche 5 avril 2009

Papillons en Fête

Comme à chaque printemps, un centre jardin de la ville de Québec organise une exposition de papillons. Durant 1 mois et ½ sont réunies dans une serre les plus belles espèces de papillons.
Téléobjectif & mode sport activé sur l’appareil photo, caméscope braqué sur le moindre mouvement de ces gentilles bestioles, nous partons à la chasse « numérique ».

Dans une chaleur et moiteur tropicale qui nous ferait oublier que dehors c’est encore mars, nous marchons parmi eux, à peine perçu comme des étrangers.
Les plus téméraires ou les plus curieux, se posent sur nous, faisant la joie des nombreux enfants présents. De ces multiples contacts avec l’humain, les papillons en portent les stigmates. Plusieurs d’entre eux sont déjà bien maganés mais il nous est encore possible de nous émerveiller devant leur beauté, leurs couleurs.

Les nombreuses fleurs présentent dans la serre et les installations de nourriture permettent de fixer sur pellicule ces animaux si étranges.

Chaudière & Champlain

Tels des marmottes, nous sortons de notre hibernation pour faire quelques ballades. Les dernières semaines ayant été occupées par l’ouvrage artistique de création de nos faires parts pour nos invités québécois.
C’est ainsi que profitant d’un des 1er redoux de cet hiver nous nous sommes rendus sur la rive sud de Québec, juste après les ponts. L’une des 1ères sorties de l’autoroute mène au parc des chutes de la rivière Chaudière. Lieu de pique-nique en été, en cette fin d’hiver, la chute est encore sérieusement prise dans les glaces.

Le temps de quelques poses photographiques, de profiter du spectacle glacé, nous quittons ce paysage magnifique mais venteux.
Afin de prolonger la ballade en ce samedi de mars, nous bifurquons sur le chemin retour.
Un arrêt le long du fleuve, pour arpenter la non moins venteuse promenade Champlain.

Les rigueurs de l’hiver donnent à voir quelques traces mais la récente douceur a déjà eu raison des bancs de neige. Le fleuve retrouve des allures plus liquides, débarrassé de ses glaçons. Fixant l’amorce du printemps sur pellicule, nous ne manquons pas de faire quelques portraits et autoportraits.